Nos villes et villages recèlent bien des trésors... que l’on ignore ou que l’on évite le plus souvent, cachés à côté des trajets que nous empruntons, loin des itinéraires "directs".
Saint-Georges-de-Didonne
Boucle
Revêtement dur (goudron, ciment, plancher)
Balisage "Sentiers Détours"
Automne, Eté, Hiver, Printemps
Cette balade permet de découvrir le centre-ville, le front de mer, la corniche et les superbes vues qu’offre Saint-Georges-de-Didonne. La découverte d’un patrimoine riche tant culturellement que naturellement se fera au rythme des pas : des temples protestants, de somptueuses villas "Belle Époque", le port, le phare de Vallières et le cœur de ville, témoin de l’époque médiévale de style néo-gothique.
Offres liées
Sur le parcours
Fermé
Site et monument historiqueàSaint-Georges-de-Didonne
Du Bureau d’Information Touristique, prendre la rue de la République jusqu’à l’avenue Edmond Mocqueris.
Étape 2 : Le temple protestant
Il est l’unique témoignage sur la commune de l’architecture moderniste après le bombardement de la poche de Royan. Sa forme originale évoque une pomme de pin.
Étape 3 : La grande conche et son front de mer
Côté sud, la nature est préservée avec, au bout de la plage, la falaise de Suzac. Prendre la direction de la partie plus urbaine, côté nord, pour longer le front de mer et ses villas « Belle Époque ».
Étape 4 : La base nautique
Il est temps de quitter la plage. Ici, c’est Saint-Georges voiles ! Au hasard du moment, on peut voir planches à voile, chars à voile, kayaks, stand up paddles, catamarans ou même de la marche aquatique. Emprunter la promenade Charles Martel.
Longer le banc rocheux de la Béchade. Il mène au petit port d’échouage qui vit au rythme des marées. Il témoigne de la présence des pilotes lamaneurs qui guidaient les marins dans l’estuaire.
Étape 6 : Le phare
Le « phare des pilotes » est classé aux Monuments Historiques en 2012. Il faut monter 144 marches pour profiter de ses 36 m de hauteur. Les impacts sur sa façade nord rappellent les combats de la libération de la poche de Royan en 1945.
À marée basse, les rochers de l’estran laissent apparaître coquillages et crustacés. Mais... Stop ! Plus loin en suivant la corniche, c’est Royan. Alors retour vers le centre-ville par la rue de la Crète en se laissant guider par le clocher néo roman de l’église.